| | | Ven 17 Aoû - 16:42 Invité |
| | | Ven 17 Aoû - 20:38 Invité [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]C'est mon histoire
Unique héritier de la famille Von Kuffner, Ulrich est le descendant directe d’une riche lignée de la noblesse Autrichienne. Il y a de cela plus d’un siècle, son ancêtre avait décidé de placer une partie de la richesse familiale dans le rachat de plusieurs hôtels et hôpitaux qui, aujourd'hui encore, permettent la fructification de leur patrimoine financier. Si les Von Kuffner on depuis longtemps déjà embauché des directeurs servant à gérer chacune de ces structures ils n’en restent pas moins les propriétaires légitimes et aucune décision importante ne peut être pris sans leur aval, que ce soit sur la restructuration d’un des hôtels, la remise en norme des salles de soins ou encore le prix des chambres et des consultations. Tous les ans, un bilan annuel leur est fourni et c’est à eux qu’incombe la lourde tâche de vérifier les budgets, les estimations établies par leurs directeurs et le coût ainsi que les objectifs de l’année à venir. En parallèle de tout ceci, Mr et Mme Von Kuffner sont également embauchés en tant que Chirurgien et professeure de Latin dans une grande université de Vienne. Elizabeth est d’ailleurs polyglotte et très à cheval quant à l’importance des langues dans la vie active et à fortiori dans la Bourgeoisie. C’est ainsi qu’à 26 ans, Ulrich parle couramment Anglais, Japonais, Allemand, Français et d’une manière plus que correct Chinois, Latin et Italien.
Scolarisé dès son plus jeune âge, Ulrich appris à lire lorsque d’autres jouaient encore avec leurs excréments, soutenu par des parents toujours plus exigeants. À l’âge de 5 ans, sa journée type consistait à se faire réveiller par Margaret, la gouvernante que ses parents avaient engagé le jour de sa naissance, à prendre une douche, petit déjeuner et réviser ses bonnes manières en compagnie de cette femme replète au sourire tendre. La politesse, la tenue, les sourires de circonstance, la manière dont on devait s’adresser aux adultes, manger, tousser, respirer… Margaret lui avait tout inculqué sous la supervision de ses géniteurs lors des rares moments ou ils le gratifiaient de leur présence. À 8h, il était envoyé dans une maternelle privée censé lui apprendre les bases de la lecture et de l’écriture, en Allemand et en Anglais, ainsi que le BABa des mathématiques supposer lui ouvrir nombres de portes dans un futur plus ou moins lointain. Lorsqu’enfin il rentrait d’une journée bien rempli et qu’il avait eu droit à son goûter bio garanti sans OGM, Ulrich était convié par sa mère à deux heures de cours intensifs en langues étrangères avant d’avoir enfin le droit de souffler une petite heure avant de dîner. Le soir, lorsque ses parents étaient présents, ils lui répétaient une fois encore ce qu'eux et la société attendaient de lui, de lui apprendre à bien se comporter et à ne jamais leur faire honte, aussi jeune soit-il. Lorsqu’ils étaient de sortie, Margaret se contentait de lui répéter quelques règles de bases avant de lui proposer de faire un puzzle pendant qu’elle s’occupait de tenir en ordre la maison. Parfois, elle s’asseyait auprès de lui et le regardait faire, voir participait. D’autres fois, elle lui proposait carrément de sortir jouer à la balle avec elle, lorsque le soleil était encore haut dans le ciel, mais que l’air frais du soir caressait leurs peaux. Ayant sa propre chambre dans la demeure, il n’était pas rare qu’elle remette à plus tard ses tâches ménagères pour jouer un peu avec l’enfant, écourtant ses nuits afin qu'il ne ressente pas aussi intensément le manque de ses parents involontairement négligeant.
À son entrée à l’école primaire, ses journées étaient sensiblement les mêmes, si ce n’était l’envie croissante que le garçonnet avait de se lier avec les autres enfants de son âge. Lui qui se voyait continuellement entouré d’adulte avait commencé à parler à ses petits camarades de classe, profitant des récréations pour aller vers ces êtres pleins de vie et de couleurs. Ulrich avait beau être inscrit dans une école privée, rare étaient les élèves dont la richesse équivalait ne serait-ce qu’à un tiers de la sienne. La plupart étaient d’origine aisée, mais sans plus, si bien qu’à chaque fois que le blond pensait se lier d’amitié avec l’un d’eux et l’invitait à sa demeure, ce dernier finissait inexorablement par s’éloigner de lui jusqu’à l’ignorer purement et simplement.
Jalousie !
À cette époque, les enfants étaient encore purs et innocents, ils ne se rendaient pas réellement compte de ce qu’impliquaient les différences de rangs sociaux. Pour Ulrich, ça s’arrêtait à la taille de sa maison et au nombre de ses jouets, mais pour les parents de ses camarades, ça allait bien plus loin que ça. La plupart interdisaient à leurs rejetons de se lier à un garçon qui ne pourrait que les détourner du droit chemin, leur faire miroiter un statut qui ne serait jamais le leur et les rendre ingrats à tout ce qu’ils avaient fait pour eux et qui ne serait jamais aussi bien que ce que l’héritier Von Kuffner avait. Pour les autres, ceux incitant leurs enfants à s’approcher du blond dans le vain espoir de grappiller quelques miettes de reconnaissance, c’était Mr et Mme Von Kuffner qui agissaient et empêchaient ces êtres avides de pouvoir de s’approcher de leur fils.
Puis vin son entrée au collège et le début de l’adolescence. À cette époque, Ulrich maîtrisait déjà l’anglais et le Japonais, aidé en partie par les quelques animes vostfr qu’il regardait le soir en cachette, lorsque ses parents en avaient fini de ses devoirs et de ses cours particuliers. Ce fut à cette époque là que la Jalousie laissa place à sa consœur.
Envie !
Une fois ado, les mêmes qui avaient fuit Ulrich lors de leurs années de primaire se mirent à tourner autour de lui pareil à des mouches autour d’une bouse encore fraîche. Ils n’étaient plus des enfants obéissant aveuglément à leurs parents, mais des adultes en devenir commençant doucement à comprendre comment fonctionnait la vie et ce qu’il leur fallait pour réussir. Ce fut la période des opportunistes, de ceux profitant de la recherche constante de reconnaissance du garçon pour venir se servir jusqu’à la dernière goutte de son sang… Sûrement que certains diront qu’Ulrich était con de penser que cet homme avait proposé de jouer avec lui dans la cours par pure bonté, ou encore que cette femme avait couché avec lui dans les toilettes du collège alors qu’il n’avait que 13 ans parce que sa beauté lui avait coupé le souffle. Sans doute aussi qu’il avait été naïf de penser que les gens autour de lui avaient envie de le connaître pour ce qu’il était et non pour ce qu’il représentait. La vérité restait qu’il s’était tellement senti seul toute son enfance qu’il était heureux de sentir enfin le vent tourner, quand bien même ce dernier était-il artificiel et sans aucune fraîcheur. C’était un vent chaud et humide, lui collant à la peau jusqu’à finir par lui donner la nausée, mais il ne le réalisa que des années plus tard, à l’aube de ses 14 ans. Karine, une fille souriante et pleine de vie, le genre de fille sur laquelle les problèmes semblaient glisser comme l’eau sur les plumes d’un canard. Certains la traitaient de simplette, mais Ulrich voyait en elle une liberté de vie à laquelle il n’aurait sans doute jamais accès. Elle était sa bouffée d’oxygène et, en six moi de relation, il ne l’avait jamais trompé. Si elle voulait attendre, il attendrait. Il avait beau déjà avoir connu les plaisirs de la chair, il voulait être une personne digne d’elle, de ce qu’elle lui apportait. Il lui avait acheté des fleurs, des bijoux, des jeux vidéos et un tas d’autres choses plus ou moins onéreuses. Il se pliait à tous ses désirs en échange de son amour, de son attention et de son sourire. Ses parents avaient beau lui dire de se méfier, qu’il n’avait pas à gaspiller son argent de poche pour elle et qu’elle semblait se servir de lui, il ne les écoutait pas, aveugler par l’amour. Ce jusqu’au jour où il l’a surprit embrasser un autre mec, lui susurrant qu’elle n’aimait que lui et quitterait le blond sitôt qu’elle aurait eu tout les présents qu’elle désirait… Ce garçon, c’était lui qui avait invité Ulrich à la surprendre, lui communiquant leur lieu de rendez-vous sûrement pour faire en sorte de précipiter leur rupture et la ravir à ses bras couvert d’or. Le coeur brisé, l’héritier Von Kuffner avait préféré fuir la réalité plutôt que de l’affronter, incapable qu’il était de montrer ses sentiments. Il demanda alors à ses parents de l’inscrire dans un lycée à Londres, en internat, afin de profiter de ses études pour parfaire son anglais. Ces dernières acceptèrent, trouvant là une bonne occasion d’ouvrir leur fils au monde extérieur. Ces années furent à la fois les plus heureuses et les plus torturé du blond qui, laissant transparaître sa deuxième personnalité, celle plus frivole et dévergondé, passa son temps à enchaîner les soirées et les coups d’un soir. Alcool, drogue, sexe. Sitôt Margaret décédée, il avait fini par perdre pied dans sa réalité édulcoré et avait brisé son mur de perfection au profit de la dépravation la plus absolue. Bien sûr, il gardait des notes correcte et faisait en sorte qu’aucune de ses actions n’arrivent aux oreilles de ses parents. Lors des galas, il se paraissait de son masque aristocrate et riait intérieurement du riddicule de ses semblables. Lorsqu’il était seul avec ses camarades de classe, il dépassait les limites qu’on lui avait toujours posées, se noyant dans les affres d’une adolescence rebelle et torturé. Puis, aussi rapidement qu’elle était apparu, la crise prit fin juste avant son passage du bac, mais il était déjà trop tard. Rentré en Autriche, il apprit qu’il était séropositif et que ses erreurs de jeunesse seraient à jamais son fardeau. Préférant une fois encore la fuite, il partit pour le Japon malgré le désaccord de ses parents inquiets pour sa santé. Il avait honte, terriblement honte. Il se sentait sale, répugnant, souillé. Jamais il ne pourrait plus les regarder en face. Jamais plus une femme ne voudrait de lui. Jamais il ne pourrait faire de descendance à ses géniteurs ne rêvant que d’une vie rangée pour son futur.
Finalement, l’air du Japon lui fit du bien et il put vivre pleinement son déni. En dehors de ses rares prises de sang afin de vérifier l’évolution du virus dans son corps et la poignée de comprimés qu’il avait à avaler chaque soir, Ulrich parvenait à oublier sa maladie. S’il faisait plus attention qu’un autre lors de ses rapports et se protégeait même lors de contacts buccaux génitaux, il ne diminua pas ses activités sexuelles pour autant… Puis il rencontra Charlie. Charlie était belle, mais Charlie était surtout sans limites et imprévisible. D’une riche famille Américaine, elle avait elle aussi connu l’ennuie de cette vie enviée par nombre de badauds. Atteinte d’Albinisme, elle portait sur son corps les stigmates d’une enfance qu’elle préférait sans doute oublier. Ils étaient tout deux à la fois semblable et pourtant bien différents. Elle parvint à faire ressortir l’adolescent qu’il avait été avant de reprendre son masque de noblesse et décidé de se ranger tout en gardant la part d’homme qui s’éveillait lentement en lui. Elle avait accepté cette dualité entre responsabilité et désir d'évasion que lui-même ne parvenait à maîtriser, car elle-même avait appris à jouer avec celle-ci. Elle lui permit de se lâcher à une époque où il en avait réellement besoin et, si leur pseudo relation ne dura pas même une année entière, ils eurent tout le temps de faire leurs erreurs. Ulrich était dans un entre deux, à cette époque, perdu entre ses responsabilités d’adulte et son tempérament adolescent. Il n’était pas assez mature pour supporter les sentiments naissant en lui, mais n’avait pas la force de les chasser entièrement. Il avait fait souffrir Charlie, l’avait même engrosser lors d’une soirée qu’il se remémorait à peine avant d’apprendre quelques mois plus tard qu’elle s’était faite avorter sans lui en parler. Sans doute qu’à cette annonce il aurait dû lui dire pour sa maladie, mais il avait bien trop peur, était bien trop égoïste pour se résoudre à gâcher sa vie au profit d’un risque amoindri par sa prise de médicaments. Alors il lui avait caché la vérité et avait continué de faire semblant. Il l’avait fait souffrir pour s’éviter de souffrir, usant de son amour pour lui pour la garder à ses côtés tout en se gardant d’y répondre sincèrement. Il avait joué au con et avait fini par perdre la partie. Un jour, il avait fini par craquer et lui avouer qu’il l’aimait. Il avait aussi fini par lui dire pour sa maladie et, avant même qu’il n’ait eu le temps de réaliser ce qu’il avait révéler, Charlie était partie en claquant la porte pour ne jamais revenir. Il avait changé d’école, restant au Japon mais dans une nouvelle ville. Partagé entre sa peine de coeur et la crainte qu’elle ne révèle son secret, il n’avait plus dormi durant plusieurs semaines, n’avait plus toucher une seule femme pendant plusieurs mois, mais rien. Elle n’avait rien dit… Doucement, il avait repris le cours de sa vie, recommencé à sortir et à étudier sa première année de médecine afin d’oublier qu’il avait eu le coeur brisé. Il s’était endurci, avait renfiler son masque de quiétude au détriment de ses sentiments véritable. Il avait grandi en se promettant de ne jamais plus ouvrir son coeur à quiconque. Jamais plus que de nécessaire, tout du moins. Un peu moins de deux ans s’étaient écoulé lorsqu’il apprit pour la mort de Charlie… Une grippe avait eu raison d’elle. Elle était morte du SIDA. Il l’avait tué, il le savait, mais il se persuadait que ce n’était pas lui, mais l’albinisme qui avait affaibli son corps maigre et avait eu raison d'elle. Il s’en persuada tellement qu’il finit presque pas occulter le fait qu’il l’avait laissé à une mort certaine en ne lui révélant pas tout de suite pour sa maladie. Si lui avait survécu des mois voir des années sans médicaments, ce ne fut pas le cas de Charlie. Si 8 ans plus tard Ulrich parvient à garder la tête haute et à feindre la complaisance, s’il sourit sans mal à ceux croisant sa route et cache à tous cette maladie stabilisé depuis des années par une lourde médication, la vérité reste qu’il ne se passe pas un jour sans qu’il ne pense à cette femme qui aurait pu être la sienne si seulement le destin en avait décidé autrement.
Aujourd’hui, ayant terminé ses années obligatoire au Japon, il a décidé de s’installer en Amérique le temps de ses années d’internat, avant de rentrer définitivement au domaine, en Autriche. S'il a entendu parler de ces initiales censé lui indiquer le nom de son âme soeur, il n'en reste pas moins septique quant à leur véracité...
|
| | Soledad Lopezlibre et spontané ✜ Date d'inscription : 17/08/2018 ✜ Lettres d'Amour : 228 ✜ Salaire mensuel : 2045 ✜ Compte en banque : 780 $ ✜ Age : 28 ✜ Profession : Mannequin, serveuse ✜ Avatar : Tara Lynn ✜ Crédits : myself ✜ Niveau D'écriture : Je suis un Bateau (plus de 1000 mots).
| Ven 17 Aoû - 20:52 Soledad Lopez |
| | Zelda DavenportFORT ET INDéPENDANT ✜ Date d'inscription : 25/07/2018 ✜ Lettres d'Amour : 215 ✜ Salaire mensuel : 376 ✜ Compte en banque : 1123 $ ✜ Enfants : Elle n'en a pas mais aimerait plus que tout fonder une famille. Mais pour ça il faudrait déjà qu'elle dise la vérité à sa famille et à sa meilleure amie. ✜ Profession : Elle est étudiante en cardiologie. ✜ Avatar : Kathryn Prescott. ✜ Crédits : moi même(vava). ✜ Autres Comptes : Kalianah Rhodes et Leonora Turner. ✜ Niveau D'écriture : Je suis une Vague (s'adapte au partenaire).
| Ven 17 Aoû - 21:45 Zelda Davenport |
| | | Ven 17 Aoû - 23:01 Invité |
| | D. Rose Brownqui s'y frotte, s'y pique ✜ Date d'inscription : 26/07/2018 ✜ Lettres d'Amour : 93 ✜ Salaire mensuel : 48 ✜ Compte en banque : 968 $ ✜ Age : 29 ✜ Enfants : Pas de marmots à déclarer. ✜ Profession : Barmaid au Blue Night ✜ Avatar : Adelaide Kane ✜ Crédits : ely. ✜ Niveau D'écriture : Je suis une Vague (s'adapte au partenaire).
| Sam 18 Aoû - 14:13 D. Rose Brown Bienvenue parmi nous ! Cette fiche Je ne sais même pas encore si je trouve Ulrich exécrable ou pathétiquement touchant, en tout cas j'aime beaucoup trop ta plume et j'ai hâte d'aller stalker tes RPs Il va nous falloir un lien avec ma petite Rose (c'est pas négociable ). |
| | Ezra DavenportLIBRE ET SPONTANé ✜ Date d'inscription : 03/08/2018 ✜ Lettres d'Amour : 39 ✜ Salaire mensuel : 55 ✜ Compte en banque : 857 $ ✜ Age : 29 ✜ Enfants : Non, ça va pas la tête ? ✜ Profession : Infirmier à mon plus grand regret. Je rêve d'être romancier.. ✜ Avatar : Gregg Sulkin ✜ Crédits : timon ✜ Autres Comptes : Andrea Blumberg. ✜ Niveau D'écriture : Je suis une Vague (s'adapte au partenaire).
| Lun 20 Aoû - 11:23 Ezra Davenport Je suis désolée j'arrive après la bataille ! mais bienvenue à toi avec ce personnage haut en couleur Hâte de voir l'évolution de Solerich (j'aime combiner les prénoms ensemble ^^ ) |
| | Addoth I. Mausarje suis en vacance je reviens vite ✜ Date d'inscription : 18/07/2018 ✜ Lettres d'Amour : 116 ✜ Salaire mensuel : 0 ✜ Compte en banque : 1579 $ ✜ Age : 35 ✜ Enfants : Aucun enfant. ✜ Profession : Je suis tatoueur ✜ Avatar : Rick Genest, l'incroyable, le magnifique. Je sais que ça semble totalement improbable et pourtant le voici sous vos yeux ébahis. ✜ Crédits : Moi-même parce que j'aime faire des choses avec mes petites mains voyez-vous. ✜ Autres Comptes : Moony Park, la resplendissante. ✜ Niveau D'écriture : Je suis une Vague (s'adapte au partenaire).
| Mar 21 Aoû - 10:04 Addoth I. Mausar Bienvenue sur le forum ! J'adore ton avatar ! |
| | Cupidonun Admin qui a du chien ! ✜ Date d'inscription : 28/03/2018 ✜ Lettres d'Amour : 315 ✜ Salaire mensuel : 866 ✜ Avatar : Un Corgi trop mignon ✜ Crédits : Unicorn
| Lun 10 Sep - 12:18 Cupidon |
| | | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |