| | Jude Millerlibre et spontané ✜ Date d'inscription : 20/08/2018 ✜ Lettres d'Amour : 319 ✜ Salaire mensuel : 3605 ✜ Compte en banque : 590 $ ✜ Age : 29 ✜ Enfants : Un bébé en route... ✜ Profession : Cariste et mis-temps chez Charlie White ✜ Avatar : Evan Peters ✜ Crédits : Moi-même ✜ Autres Comptes : Mary Miller ✜ Niveau D'écriture : Je suis une Vague (s'adapte au partenaire).
| Lun 20 Aoû - 16:52 Jude Miller |
| | Jude Millerlibre et spontané ✜ Date d'inscription : 20/08/2018 ✜ Lettres d'Amour : 319 ✜ Salaire mensuel : 3605 ✜ Compte en banque : 590 $ ✜ Age : 29 ✜ Enfants : Un bébé en route... ✜ Profession : Cariste et mis-temps chez Charlie White ✜ Avatar : Evan Peters ✜ Crédits : Moi-même ✜ Autres Comptes : Mary Miller ✜ Niveau D'écriture : Je suis une Vague (s'adapte au partenaire).
| Lun 20 Aoû - 16:56 Jude Miller C'est mon histoire Lorsque dans la fraîcheur d’une nuit de février un petit garçon vint au monde sous le regard bienveillant de ses parents, que la sage femme d’une cinquantaine d’années eu posé l’enfant couvert de sang contre le ventre rassurant de sa mère, l’homme âgé de tout juste 20 ans lui faisant face murmura d’une voix étranglée par l’émotion. « Bienvenu chez toi, Jude » Jude, raccourcis de Judas, prénom connu de tous pour avoir été celui d’un des apôtres de Jésus selon la bible. Un apôtre qui, à en croire le livre sacré, avait livré le messie aux prêtres de Jérusalem, responsable de son exécution. Simplification d’un récit bien plus complexe et bien plus dense que le garçon avait été forcé de lire durant sa jeunesse. Car oui, aussi ironique que cela puisse paraître, ces deux êtres lui ayant donné naissance et affublé d’un tel prénom étaient tout deux de fervents pratiquants. Pourquoi alors donné à leur fils premier le nom d’un tel traître ? Pourquoi ne pas l’avoir nommé Mathieu ou Jean, voir Gabrielle ou Raphaël ? Pourquoi pas même Isaac, David, Joseph ? À dire vrai, Jude lui-même n’en avait pas la moindre idée. Il avait bien sûr tenté de demander une explication à ses parents lorsqu’il était enfant, mais ces derniers s’étaient contentés d’une réponse évasive « Dieu est amour. Il offre une seconde chance à qui de droit... » Sûrement qu’ils pensaient pouvoir ainsi nettoyer les péchés de son homonyme en mettant au monde un nouveau Judas plus moderne et surtout plus sage. Peut-être qu’ils espéraient que leur fils contrebalance la pensée commune à leur croyance que ceux portant un tel nom allaient forcément mal tourner, un peu comme ceux portant le nom d’Hitler ou de Staline… Avaient-ils conscience qu’en agissant de la sorte, ils flirtaient avec le blasphème ? Vouloir prouver à Dieu qu’on pouvait vivre vertueux avec un tel prénom, c’était un peu comme le provoquer et lui montrer qu’on savait mieux que lui ce qui était et ce qui n’était pas. C’est en tout cas ce que se prit à penser Jude alors âgé de 9 ou 10 ans, quand bien même n’en eut-il jamais parlé à ses parents de peur de recevoir leur courroux alors encore tant redouter. Malheureusement pour eux, leur contre sort n’avait pas fonctionné et, bien vite, Jude se découvrit une aversion conséquente pour tout ce qui avait rapport à la religion. Mais chaque chose en son temps :
0-10 ans :
L’enfance de Jude se passa au coeur d’une famille unie et solidaire. Son père fraîchement diplômé à l’heure de sa naissance venait tout juste de commencer à travailler pour une entreprise de pharmacopée bio et sa mère, vaillante tenancière de principes biblique, s’occupait de tenir la maison et d’élever les enfants. D’abords lui, puis sa petite sœur Mary née deux années plus tard. D’aussi loin qu’il se souvienne, Jude n’avait jamais connu autre chose que la routine familiale. La semaine, il allait à l’école et faisait ses devoirs en rentrant le soir. Le mercredi après-midi et le samedi, c’était sortie au parc ou au cinéma voir des films consciencieusement choisis par ses parents pour être « adaptés » à leurs enfants. A noter par exemple que Jude n’avait pu voir Tarzan avant ses 12-13 ans dû au fait que Tok, l’ami gorille de ce dernier, était en réalité une fille. Réalisant cela, Lyneda et Callum avaient refusé tout net que leur progéniture ne regarde une telle aberration. Un film pour enfant aux teintes LGBT, et puis quoi encore ? Une place pour chaque chose et chaque chose à sa place. Tous les soirs, Lyneda prenait le temps de venir rejoindre ses enfants dans leur chambre commune et de leur lire un verset de la bible pour les endormir. Elle embrassait leur front juvénile et leur souhaitait de beaux rêves, priant pour que les anges les protège. Quand enfin arrivait le dimanche, Jude était paré de sa plus belle tenue et suivait ses parents jusqu’à l’église familiale pour un sermon de deux heures. Cette église ayant servie aux mariages et aux enterrement de tout les membres de leur famille depuis aussi loin qu’ils s’en souviennent. A noter également que, si Jude évite généralement d’en parler, son père et sa mère étaient tout deux cousins au second degré. Le père de sa mère et la mère de son père étaient tout les deux cousins. Il n’était pas chose aisé de trouver une famille aussi pieuse que la leur, aussi ce type de mariage n’était-il pas si rare chez eux… Également présents à la messe, les grands parents de Jude observaient leur descendance non sans un brin de fierté. Quel plus grand bonheur que celui de voir ses enfants donner à leurs tours la vie ? Jude adorait ses grands parents, ils étaient sage et plein de bonté, mais tout aussi aveugle aux réalités que ne l’étaient ses parents. Même s’il ne le réalisa que bien plus tard.
10-18 ans :
La fin de l’enfance et le début de l’adolescence. Jude ne devait pas avoir plus de 9 ou 10 ans la première fois qu’il se questionna sur les croyances de sa famille. D’abord pieux, il interrogea ses parents sur quelques uns des sujets le taraudant avant de réaliser que jamais ces derniers n’étaient réellement sincère avec lui. Ils se contentaient de citer des passages de l’évangile sans jamais répondre de manière plus personnelle à ses questions. « Pourquoi suis-je obligé d’aller à la messe chaque dimanche ? Ne puis-je pas prier Dieu depuis chez moi, comme tous les autres jours ? » « J’ai une copine qui a deux mamans et qui a l’air très heureuse… Pourquoi est ce qu’elles n’ont pas le droit d’être heureuses ? » « Si Dieu est amour, pourquoi est ce qu’il demande à l’homme qui a péché de se couper la main ? » et tant d’autres questions naissantes dans l’esprit curieux de l’enfant. Et plus il grandissait, plus il se rendait compte de l’incapacité qu’avaient ses géniteurs à réfléchir autrement que comme on le leur avait appris. Il les aimait et avait conscience qu’ils l’avaient tout deux élevés du mieux qu’ils le pouvaient, qu’ils avaient simplement tenté de lui inculquer des valeurs chers à leurs cœurs, mais Jude ne savait alors plus l’entendre. À son entré au collège, son corps se mi brusquement à changer et, manquant cruellement de repères et de connaissance sur sa propre anatomie, il était de plus en plus perdu quant à ce qui était en train de lui arriver. Il avait peur et était en colère, constamment. Il avait envie de crier, sans trop savoir ni pourquoi ni sur qui ; de pleurer, mais aucune larme ne parvenait à quitter ses yeux charbonneux perdus dans l’immensité de la vie qui l’attendait. Il avait envie de… Il ne savait pas trop quoi, à dire vrai. Du moins, jusqu’au jour où sa main se perdit à l’intérieur de son caleçon et qu’il découvrit les plaisirs coupable de la masturbation. Il avait conscience que ce qu’il faisait était mal, mais putain ce que c’était bon. Là aussi, il ne put s’empêcher de se demander pourquoi quelque chose d’aussi agréable se devait d’être interdit par Dieu. Bien entendu, il ne poserait jamais cette question à ses parents, mais c’est sans doute ce jour là qu’une barrière avait cédé en lui. Il doutait de tout. Il avait envie d’autre chose.
Et il rencontra Charlie. Il sut instantanément que ce garçon était cet autre chose qu’il avait tant espéré. Il était sa porte vers un monde nouveau, loin, si loin du sien. Charlie semblait son opposé, un garçon paraissant assuré et rentre dedans. Un enfant aux allures de chenapan. Loin d’en être effrayé, Jude en fut émerveillé et, alors qu’il avait tout juste 11 ans et l'actuel tatoueur 10, il se décida à venir lui parler. Aujourd’hui encore, il ne comprend pas vraiment ce qui avait prit à Charlie d’accepter de trainer avec un coincé du cul tel que lui. Peut-être y avait-il vu un challenge, une occasion de changer cette grenouille de bénitier en beau prince du vice, mais peut importait au final. Seul comptait le résultat.
En compagnie de Charlie, il apprit à connaître un mode de vie lui ayant été jusqu’alors interdit. Bientôt, il lia d’autres amitiés avec d’autres garçons et parfois même quelques filles. Mentant à ses parents en leur disant passé la soirée chez un enfant de leur paroisse, il l’a passait en réalité chez Rayan, Charlie ou Bonnie à regarder des films interdit, à manger ou même à boire et à fumer. À 14 ans, il connu sa première cuite, passant la journée du lendemain à vomir ses tripes sous le regard idiot de ses parents convaincu de la maladie de leur fils. Après tout, comment pouvait-il en être autrement ? N’ayant eux-mêmes jamais vécu un tel état et convaincu qu’ils étaient de la sagesse de leur fils, les voilà bien dépourvus en de tels cas. Une fois encore, Jude ne put s’empêcher de trouver que ceux qu’il avait un jour admiré faisaient en réalité pitié. Une fois sortie de leur cocon rassurant, ils ne connaissaient décidément rien à la vie. Seule Mary semblait avoir compris ce qui se tramait, mais sans jamais n’avoir rien dit. À 12 ans, elle était déjà bien plus consciente de leur époque que ne le seraient jamais leurs parents.
Puis, quelques mois après son 15ème anniversaire, sa vie prit un tout nouveau tournant. Si jusqu’alors l’adolescent cachait du mieux qu’il le pouvait ses changements à ses géniteurs, ce ne fut plus le cas au lendemain de sa première fois. Aussi catastrophique que celle-ci eut été, elle fut l’électrochoc manquant au garçon pour enfin dire merde à ses parents. Fini de picoler dans leur dos, il en avait marre de jouer au fils prodige et de changer de casquette sitôt sortie de la maison familial. Il ne supportait plus d’accompagner sa famille à l’église tout les dimanche, écoutant un prête prêcher l’amour de son prochain sans jamais l’avoir connu. Marre d’écouter les sermons qu’il connaissait déjà par coeur et dont il avait prit plaisir à tester les limites jusqu’à temps de se décidé à les ignorer purement et simplement. Il avait picolé en dehors du vin sacré, sang de Jesus Christ notre seigneur. Il avait fumé, juré et s’était même branler dans les toilettes de son collège. Et alors ? À quoi bon faire semblant si vivre en dehors de la bienséance nous rendait plus heureux ? S’il avait envie d’être un pervers détraqué, grand bien lui fasse après tout. À quoi bon gâcher une vie mortelle bien réelle au nom d’un paradis incertain ? Pourquoi, pour pouvoir mourir heureux, fallait-il vivre dans l’ennui le plus total ? Qu’elle était la logique de tout ça? Il n’y en avait aucune. Après avoir été assuré qu’il n’avait pas été frappé par la foutre à l’instant où il n’avait plus fait qu’un avec la jeune femme, il se décida à aller de l’avant et vivre comme bon lui semblait.
Il sortait de plus en plus souvent et de plus en plus tard, allant même jusqu’à passer la nuit dehors sans plus donner de nouvelle jusqu’au lendemain après-midi, voir deux journées plus . Il jurait devant ses parents, fumait, leur criait des insultes et refusait catégoriquement de les accompagner à la messe. A 16 ans, il avait décoloré ses cheveux mi-long en blond en signe de contestation. Pire, il avait eu l’audace de d’aborder le sujet du sexe avec sa petite sœur de seulement 14 ans. Il avait osé lui parler contraceptifs et plaisir solitaire, à eux pour qui le sexe servait principalement à faire des enfants et où le plaisir n’était qu’un bonus offert à quelques couples mariés privilégiés. Pas étonnant que l’orgasme soit si rare chez leur femme étant donné qu’ils ne devaient rien connaître à l’anatomie féminine et se contentaient de culbuter leurs épouses jusqu’à temps de se finir. Un peu comme Jude à l’époque… Dieu qu’ils lui faisaient pitié. Le point de non retour fut néanmoins franchit le jour où ses parents parlèrent d’appeler un exorciste pour libérer leur fils du démon. Jude avait alors 17 ans. Il ne lui en fallu pas plus pour qu’il prenne la première valise lui passant sous la main et balance toutes ses affaires dedans avant de quitter la maison en grand fracas. Arrêtant ses études aux portes du bac, il se servit des économies que ses parents avaient gardé en prévision de l’université pour louer une chambre dans un hôtel miteux et avait commencé à revendre la cam de son dealer habituel en échange de quelques piécettes. Ses clients ? Ses anciens camarades de classe pour la plupart. Son commerce ne dura cela dit guère plus de quelques mois, la rumeur de l’un de ses anciens alliés embarqué par les keufs ayant tôt fait de calmer ses ardeurs de baron de la drogue. On ne change pas comme ça 17 ans d’éducation, après tout… Finalement, il trouva un boulot sur des chantiers routier, passant le plus clair de son temps à creuser des gros trous dans les autoroutes et les boucher avec une nouvelle couche de goudron. Un travail qui, loin d’être passionnant et plutôt éreintant, lui permis néanmoins de se payer un studio au lendemain de son 18ème anniversaire. Après 8 mois passé à fluctuer entre des hôtels bas de gamme et des squats plus ou moins long chez certains de ses amis, il était bien content d’enfin pouvoir avoir un chez lui. Aussi exiguë et simpliste que ce dernier pouvait être.
18 ans - aujourd'hui
Les années suivantes semblèrent s’enchaîner à la vitesse de l’éclair. Continuant de travailler sur des chantiers pendant environs deux ans, Jude fini par décrocher son métier actuel et, quand bien même ce dernier était-il loin de le faire rêver, au moins lui permettait-il de gagner de quoi finir son mois sans avoir à se casser le dos sous un soleil de plomb. De toute façon, le jeune homme préférait vivre la nuit. Une fois le soleil couché et la lune l’enveloppant de sa douce lumière, il pouvait enfin se relâcher et profiter d’un peu d’accalmie. Enfin, si l’on pouvait dire que traîner avec Charlie était synonyme de calme. Disons plutôt que cela lui permettait de se changer les idées et de décompresser d’une journée de travail.
Côté coeur, Jude sortie avec plusieurs femmes au cours de ces années, pour la plupart simple amourette jusqu’à sa rencontre avec Naomi. Naomi, de deux ans son aînée, était une femme simple au caractère bien trempée. Elle n’avait pas peur de dire haut et fort ce qu’elle pensait de gens, ni d’envoyer se faire foutre ceux qu’elle jugeait indignent de sa présence. Elle était belle, quand bien même Jude était-il conscient qu’elle ne faisait sans doute pas l’unanimité. Une fille de l’est. Un petit bout de femme aux larges hanches et au regard animal. Elle avait beau faire deux têtes de moins que lui, jamais la jeune femme ne peinait à se faire entendre de son copain. Même avec du recul, le brun ne pouvait nier ses sentiments. Il avait aimé Naomi de tout son coeur et, son éducation chrétienne aidant sûrement, sa plus grande tristesse avait été de constater que ses initiales n’étaient jamais apparu sur son poignet. Certes, il avait conscience que cette histoire d’âme sœur n’induisait pas forcément un amour dans le sens premier du terme, mais il aurait quand même rêvé que ce soit le cas avec Naomi… Ce le fut pour elle, d’ailleurs. Sitôt que son chemin eu croisé celui de Jana, des initiales d’un noir d’encre apparurent sur son poignet au cran damne de Jude qui se força à croire son amie lorsque cette dernière lui répondit que c’était là celles d’une femme. D’une simple amie… Une femme oui. Une amie, non. Mais ça, Jude ne l’appris qu’une année plus tard, lorsque Naomi se décida enfin à lui avouer la vérité, après que l’homme lui ait parlé de s’installer ensemble… Ainsi va la vie… Si dire que Jude était parvenu à tracer un trait définitif sur leur relation serait mentir, il est néanmoins parvenu à passer le cap du premier mois et à prendre la vie du bon côté. Ce n’était pas la bonne, tout simplement. Pour l’heure, l’amour n’était pas sa priorité de toute façon. Il voulait d’abord trouver un objectif à sa vie et s’élever d’une manière ou d’une autre dans la société. Lorsqu’enfin il se sentira épanoui dans son job, qu’il aura un appartement digne de ce nom, alors seulement il pourra penser à se caser pour de bon. Ou alors il devait pécho une bourge. Au choix.
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| | Zelda DavenportFORT ET INDéPENDANT ✜ Date d'inscription : 25/07/2018 ✜ Lettres d'Amour : 215 ✜ Salaire mensuel : 376 ✜ Compte en banque : 1123 $ ✜ Enfants : Elle n'en a pas mais aimerait plus que tout fonder une famille. Mais pour ça il faudrait déjà qu'elle dise la vérité à sa famille et à sa meilleure amie. ✜ Profession : Elle est étudiante en cardiologie. ✜ Avatar : Kathryn Prescott. ✜ Crédits : moi même(vava). ✜ Autres Comptes : Kalianah Rhodes et Leonora Turner. ✜ Niveau D'écriture : Je suis une Vague (s'adapte au partenaire).
| Lun 20 Aoû - 16:58 Zelda Davenport re bienvenue avec Juju ce personnage! Ce choix de vava! Bon courage pour ta fiche. Si tu as des questions, tu sais où me trouver. Bon courage pour ta fiche. Et ton vava est réservé pour cinq jours soit jusqu'au 25. |
| | Cameron HendersonMembre du mois ✜ Date d'inscription : 10/08/2018 ✜ Lettres d'Amour : 187 ✜ Salaire mensuel : 47 ✜ Compte en banque : 1480 $ ✜ Age : 33 ✜ Enfants : Lola, ma fille de cinq ans. ✜ Profession : Journaliste de mode ✜ Avatar : Leighton Meester ✜ Crédits : lux aeterna (vava) ✜ Niveau D'écriture : Je suis une Vague (s'adapte au partenaire).
| Lun 20 Aoû - 17:08 Cameron Henderson J'aime trop le prénom Jude! Re bienvenue sur fys, tu connais la maison maintenant hein Et bon courage pour la suite de ta fiche |
| | | Lun 20 Aoû - 17:10 Invité |
| | Addoth I. Mausarje suis en vacance je reviens vite ✜ Date d'inscription : 18/07/2018 ✜ Lettres d'Amour : 116 ✜ Salaire mensuel : 0 ✜ Compte en banque : 1579 $ ✜ Age : 35 ✜ Enfants : Aucun enfant. ✜ Profession : Je suis tatoueur ✜ Avatar : Rick Genest, l'incroyable, le magnifique. Je sais que ça semble totalement improbable et pourtant le voici sous vos yeux ébahis. ✜ Crédits : Moi-même parce que j'aime faire des choses avec mes petites mains voyez-vous. ✜ Autres Comptes : Moony Park, la resplendissante. ✜ Niveau D'écriture : Je suis une Vague (s'adapte au partenaire).
| Mar 21 Aoû - 9:57 Addoth I. Mausar Bienvenue ! Bonne chance pour ta fiche ! |
| | D. Rose Brownqui s'y frotte, s'y pique ✜ Date d'inscription : 26/07/2018 ✜ Lettres d'Amour : 93 ✜ Salaire mensuel : 48 ✜ Compte en banque : 968 $ ✜ Age : 29 ✜ Enfants : Pas de marmots à déclarer. ✜ Profession : Barmaid au Blue Night ✜ Avatar : Adelaide Kane ✜ Crédits : ely. ✜ Niveau D'écriture : Je suis une Vague (s'adapte au partenaire).
| Mar 21 Aoû - 16:57 D. Rose Brown Re-bienvenue ! Encore un personnage (et un début de fiche) vraiment très cool ! J'ai hâte de lire la suite !! |
| | Zelda DavenportFORT ET INDéPENDANT ✜ Date d'inscription : 25/07/2018 ✜ Lettres d'Amour : 215 ✜ Salaire mensuel : 376 ✜ Compte en banque : 1123 $ ✜ Enfants : Elle n'en a pas mais aimerait plus que tout fonder une famille. Mais pour ça il faudrait déjà qu'elle dise la vérité à sa famille et à sa meilleure amie. ✜ Profession : Elle est étudiante en cardiologie. ✜ Avatar : Kathryn Prescott. ✜ Crédits : moi même(vava). ✜ Autres Comptes : Kalianah Rhodes et Leonora Turner. ✜ Niveau D'écriture : Je suis une Vague (s'adapte au partenaire).
| Mer 22 Aoû - 8:27 Zelda Davenport |
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