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New beginning [PV Charlie]
Mary Miller
Mary Miller
ouvert et patient
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ouvert et patient

Sam 3 Nov - 21:40
Mary Miller
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New beginning [PV Charlie] Kelly-Brook

 « - Tu sais quoi ? Je te renvoie ta question. Parce qu'à vrai dire, c'est pas faute d'avoir essayer. »
Dernières paroles d’un homme prenant la fuite. Quittant l’appartement devenu soudain étonnamment calme en y abandonnant ses résidents. Résigné.
Et Mary reste là, bête, au beau milieu du salon.
Elle observe tour à tour son frère et son amie, comme désireuse de trouver une réponse dans leurs regards. L’élément qui semblait lui manquer. Qui l'empêchait de comprendre, tout comme eux, les paroles du châtain.
Car elle voyait bien aux expressions effarés que tout deux lui portaient qu'elle était la seule dans l'ignorance.
A leurs regard dépité qu'elle observait sans un mot alors que, lentement, les pièces du puzzle prenaient place dans son esprit.
Est ce que ? … Non. Impossible.
Et pourtant…
Pourtant, ainsi, tout prenait sens.
Tout.
Sauf peut-être l’idée même que Charlie puisse avoir développé pour elle de pareils sentiments pour elle.
Car si les éléments pris séparément pouvaient laisser penser à ça, la finalité elle-même semblait irréaliste à la jeune femme. Comme une douce chimère à laquelle elle n’osait pas même prétendre.
Et pourtant…
Croisant le regard de son frère, elle sentit son coeur manquer un battement.
Il savait. Putain de bordel de merde. Il savait !!
Depuis quand ? Comment ? Pourquoi ? Était-ce Charlie qui lui avait dit ? Était-ce lui qui avait risquer son amitié en lui racontant pareil secret ?
Si tel était le cas, alors cette conclusion suréaliste ne l’était peut-être plus tant que ça.
Si c’était Charlie qui avait parlé de tout ça à Jude, alors peut-être que…
 « Je te renvoie ta question. Parce qu'à vrai dire, c'est pas faute d'avoir essayer. »
Ouvrant des yeux comme des soucoupes, Mary se retourna d’un bon vers Jude et Soledad. Réalisant alors seulement la portée de ces mots ainsi que de tout ceux les ayant précédés.
Putain.
Putain de bordel de merde.
Merde merde merde merde. MERDE !
Comment avait-elle pu être aussi conne ? Aussi aveugle ? Aussi sourde à des propos qui, aussi maladroit ont-ils pu être, aurait du la faire tiquer depuis longtemps déjà !

« C’était moi ? » Elle hurle. Pointant son propre corps à l’attention du couple lui faisant face. « C’était moi cette fille qui le faisait souffrir ?? »
Elle répète, soudain paniquée. Tremblant de tout son être alors que, d’une voix calme, son frère lui répondit le plus naturellement du monde un « Oui, c’était toi » manquant de peu de la faire défaillir.
Putain…
Merde.
Bordel de merde.
Non.
Non non non… Non !
« Je… » Elle dit, hésitante. Trépignant d’impatience et de remords alors que, d’un signe de main vers la porte d’entrée, Jude l’y autorisa dans un souffle « Va y... »
Et elle ne se fait pas prier, Mary.
Enfilant sa veste, elle quitta l’appartement au pas de course, prête à stopper Charlie dans la sienne. Mais sa voiture n’était plus là. Il était déjà parti.
Alors elle s’installe dans la sienne. Tremblante. Ses doigts peinant à dévérouiller son téléphone portable. A lui écrire un message qu'elle efface et recommence par dix fois avant de finalement envoyer sa onzième tentative sans plus y réfléchir.
Peinant encore à croire cette vérité pourtant indéniable.
Et elle se sent mourir lorsque son téléphone vibre entre ses doigts. Qu’elle voit la réponse de Charlie. Ultime confirmation de son déni brisé en mille morceaux.
Et elle se sent nulle, Mary. Elle se sent horrible d’avoir été la cause du malheur d’un homme dont elle ne souhaitait que le bonheur. De cet être qu’elle chérissait avant tant de maladresse. Avec tant de mauvais choix et de faux pas.
Alors elle démarre, Mary. Traversant la ville aux limites des vitesses autorisées. Grillant certaines priorités sans même le vouloir tant son esprit ne pouvait se détacher de sa seule destination.

Et lorsqu’elle se gare face au salon de tatoueur. Que son corps tremblant s’extirpe de sa voiture. Que son coeur martelant contre sa poitrine lui cri de franchir ces putains de derniers mètre la séparant de cet homme qu’elle avait attendue près de dix putain d’années durant. Elle sent doucement la panique la gagner de nouveau.
Panique serpentant dans ses veines. Glaçant son sang qui, à la simple pensée du corps de Charlie, de son ses yeux et de ses lèvres se réchauffa d’un amour plus puissant encore que ne l’était tout le reste.
Alors elle l’a franchit, cette foutue porte. Pénétrant le salon sans même prendre la peine de sonner. Sans même s’annoncer.
Et lorsqu’elle voit la silhouette de Charlie se découper dans le fond de la salle, elle sent toute son appréhension fondre comme neige au soleil.
Comme si Charlie était à lui seul un astre capable d’illuminer sa vie et de faire fondre d’un regard le moindre de ses doutes.
Et il l’était. Bon dieu qu’il l’était.
Ne lui laissant pas même le temps d’ouvrir la bouche, elle se précipita dans ses bras. Encerclant son corps des siens.
Pressant sa poitrine contre son torse toujours caché par ses vêtements.
Nichant son visage contre son cou. Inspirant son odeur alors que, fébrile, elle relevait son regard vers lui.
Ce n’était pas possible que cet homme l’aime comme elle l’aimait elle. Pas possible.
Et pourtant… Pourtant, une fois le voile retiré de ses yeux, elle ne pouvait nier cet éclat de tendresse illuminant ceux de châtain.
Ces yeux magnifiques dans lesquels elle se perdit le temps d’un instant.
Appréciant pour la première fois pleinement ce qu’elle y décelait. Ce désir lancinant le dévorant pleinement.
Alors elle le serre plus fort, Mary. Son regard encré dans celui de Charlie.
Ses lèvres appelant aux siennes, silencieuses.
Son corps criant à plus de contact. Toujours du plus de contact alors qu’elle s’abandonnait à lui dans un souffle. « Je suis à toi... »

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Sam 3 Nov - 23:10
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Mine





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Dim 4 Nov - 0:53
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Dim 4 Nov - 2:12
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Forcing




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Lun 5 Nov - 22:54
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Again




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Mer 7 Nov - 22:34
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Dim 11 Nov - 1:24
Charlie White

Love



Essoufflés, à bout de souffle, expirations extatiques lorsque mon corps retombe sur le moelleux du coussin, en sueur et tremblant, lorsqu'elle pousse le derniers cri de jouissance contre mon oreille. Et elle sent bon, Mary. Elle a une odeur féminine, une odeur douce, une odeur qui me donne envie de faire l'amour encore, à peine sorti d'elle, comme un carnivore à l'odeur du sang. Grand requin blanc dans les abysses du désire que j'éprouve pour elle. Sans fin, intarissable lorsqu'il s'agit de Mary. Intarissable. Insatiable. Et elle est belle, Mary. Nue, étendue sur le lit, elle est belle. Elle ne se rends pas compte de combien elle est belle. Si elle savait, elle ne serait pas là, tout prêt de moi. Si elle savait, Mary ,combien elle me rends fou. A chaque fois que je pense à elle, c'est comme si j'perdais la tête, j'deviens encore plus con que je le suis, lorsqu'elle glisse ses mains contre les miennes. Mais, ça date pas d'hier et plus j'y pense, plus je me dis que je me suis caché une évidence. Niant, quelque chose qui avait toujours été devant moi. Peut-être parce que je voulais pas le voir. Je voulais pas développer des sentiments si vite, j'voulais plus jamais retomber amoureux. J'voulais personne d'autre que Maxine peut-être parce que j'avais peur de ce sentiment-là, celui que je ressens quand elle glisse ses lèvres sur mon épaule, qu'elle y dépose sa tête. J'voulais pas me sentir à la fois si complet et si désemparé. Parce que y'a pas de barrière à ce sentiment. Parce que je ne sais pas aimer autrement qu’entièrement, profondément, sans raison, sans logique. Et je sens qu'à chaque fois qu'elle me regarde, je tombe toujours plus amoureux d'elle. Qu'à chaque fois qu'elle m'embrasse, je me sens encore plus le besoin de la possédé , plus fort encore que la fois précédente. À chaque fois qu'elle gémit, Mary, mon cœur se met à battre fort, trop fort dans ma poitrine. Et elle est belle Mary mais, elle est pas que ça. Elle est douce, aussi. Affectueuse. Elle est compréhensive et pourtant caractérielle. Elle a tout ce que j'aime chez une femme. Elle sourit et puis mon monde s'arrête de tourner. Depuis qu'on est petit, je crois. Depuis qu'on est tout petit, mon monde s'arrête quand elle rit. C'est sans doute pour ça que j'ai passer mon enfance à faire le pitre devant elle. Que je continuerais de le faire pour qu'elle rit, Mary. Pour qu'elle sourit, Mary. Pour qu'elle vive plus fort, qu'elle soit heureuse, qu'elle soit joyeuse.
Le monde s'arrête toujours de tourner quand elle sourit. Pour moi, pour les autres, c'est comme ça qu'elle est. On peut pas s'empêcher de la regarder. On peut pas s'empêcher de vouloir l'aimer, Mary. Comment j'ai pu, pendant si longtemps ?

La porte claque derrière moi , la main contre ma bouche, je me sens malade, sale. La porte claque derrière moi et c'est peut-être la dernière fois que je reviens ici. J'ai les larmes aux yeux mais, j'veux pas pleurer comme un gamin. J'en suis plus un maintenant. A seize ans, on pleure pas comme un gosse. Moi en tout cas, je vais pas pleurer. Je suis pas un môme. Et je réalise pour la première fois, les sentiments de la petite sœur de Jude. Elle m'a attraper par les épaules alors que j'étais assis dans la cuisine et puis elle m'a embrasser. Elle avait un goût de labello à la cerise, je le sais parce que si c'est elle qui a déposer ses lèvres sur les miennes, c'est moi qui me suis levé pour l'embrasser plus fort, pour l'attraper fort par les hanches, pour lui happé les lèvres entre les miennes. Et j'ai envie de pleurer mais mon cœur, lui, il veut pas s'arrêter de battre contre ma poitrine, frénétique, il tape fort, il cogne, il me hurle de recommencer , alors que mon crâne, lui, hurle à la culpabilité, m'ordonne d'oublier, de ne plus jamais faire une chose pareille. Et puis il me rappelle sans cesses à demain. Me hurle que demain, Jude me rejoindra à l'entrée de l'école, qu'il me dira bonjour comme si de rien n'était alors que je l'aurais trahis de la pire façon dont on puisse trahir quelqu'un. Parce que j'aurais toucher la seule personne qu'il voulait épargné. Et je me demande ce que ça veut dire, pour Mary. Je me demande pourquoi elle a fait ça. Et je me demandes pourquoi elle avait les joues si rouges , pourquoi elle avait l'air d'avoir si chaud. Et je me demande jusqu'où j'aurais pu aller. Et mon entrejambe ne m'écoute pas, alors que , honteux, je cours pour oublier la douleur dans mon cœur. L'impression de trahison palpable qui cogne dans tout mon être, chaque parcelle de mon épiderme. Tout mes organes. Tout n'est que honte. J'étouffe.

Pardon. Pardon. Pardon. Pardon. Pardon. Pardon. Pardon, Jude. Pardon.

Essoufflés, à bout de souffle, expirations extatiques lorsque mon corps retombe sur le moelleux du coussin, en sueur et tremblant, lorsqu'elle pousse le derniers cri de jouissance contre mon oreille. Et lorsqu'elle se relève , les rayons de lumières de la nuit dessinent les formes de son corps, de son nombril à la rondeur de sa poitrine et plus ses cheveux qui tombent en cascade brune sur ses épaules. Et son cou gracile éclairé, à peine. Elle est belle. C'est peut-être la plus belle femme que je n'ai jamais vu. Et elle ne voit sans doute pas, qu'elle me fascine, Mary. Elle ne se rends sans doute pas compte, qu'elle me fascine. Et elle me rejoint, s'allonge à mes côtés et moi, un peu bête, je reste là, abruti par son regard sur moi. Pourquoi est-ce qu'elle me regarde comme ça ? Pourquoi est-ce que je mériterais un regard aussi beau ? Et elle pose sa main contre mon ventre , glisse ses doigts contre moi, alors que je frissonne, lorsqu'elle s'approche trop des cicatrices. Je ferme les yeux, lorsqu'elle m'embrasse. Soupire d'aise, éteignant la cigarette dans le cendrier sempiternellement posé sur la table de chevet. Alors elle s'éloigne Mary. Elle comprends que je ne suis pas prêt à être touché comme ça. Et ça me rends malheureux. Frustration de plus, alors que la liste est longue dans notre histoire. Je me relève pour filé vers mon placard chercher un nouveau t-shirt et un caleçon propre , les enfilant rapidement pour la rejoindre dans le lit, l'attraper contre moi. Mon nez se glisse entre sa mâchoire et son cou, inspirant son odeur. Glissant la couette contre nous, je me serre fort contre elle. . « Tu sais... J'avais un peu peur de regretter si un jour on... enfin voilà... Mais non. En plus, c’était encore mieux que ce que j’espérai »  Et sa voix miraculeuse me rappelle à la réalité alors que ma main se glisse contre son ventre et ses hanches, du bout des doigts. Et elle rit, Mary. Et la terre s'arrête de tourner, encore, je reste accrocher à son rire, les lèvres étirées en un sourire béat de fascination pour elle. Je n'ai même pas tout à fait entendu ce qu'elle a dit, que des brides de sa phrase. Et j'allume une nouvelle cigarette , l'attirant contre moi plus fort encore. « J’espère que… pour toi aussi... » Elle souffle, de nouveau et mon sourire s'élargie. «-Je crois que mon wow parle de lui-même. » Je dis, glissant mes lèvres contre sa joue, contre son nez. Et je voudrais passer la nuit à l'embrasser plus fort encore. À lui faire l'amour de nouveau. « -Je suis heureux, May. » Je dis, me redressant pour l'observé. « -Je sais pas comment tu as fais pour ne pas me rendre dingue avant. Je sais même plus comment c'était, avant. »

Du bout du bras je dépose la cigarette encore fumante dans le cendrier et je me glisse au dessus d'elle pour l'embrasser à pleine bouche de nouveau emporté par le désirs que j'éprouve. Et mes lèvres se glissent contre son cou, irrémédiablement attiré par son odeur, je cherche de ma main la sienne, l'y emprisonne. Et puis je me laisse retomber contre, elle, la visage contre sa poitrine généreuse, me laisse entouré dans ses bras, je profite de sa douceur, de sa tendresse, parce que les femmes que je fréquentent habituellement , ne sont pas tendre. Parce que je tolère peu, la tendresse, de la part des autres femmes. Alors qu'avec Mary, je crève d'encore un peu de ses bras. Je sais pas. C'est l'effet qu'elle me fait. Elle est belle, elle est douce. Elle est parfaite. « -Pardon si je t'étouffe. » Je souffle, sentant de nouveau mon entrejambe s'activé, affamé que je suis, d'elle. Et ma main se glisse contre sa cuisse. «- Expliques moi comment tu fais, May ? » Pour me rendre aussi dingue d'elle, en si peu de temps. Pour que j'étouffe quand je ne parle pas. « -Tu m'as trop manqué. »

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Mary Miller
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Dim 11 Nov - 23:34
Mary Miller
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Elle aimerait que le temps s’arrête, Mary.
Elle souhaiterait plus que tout qu’il se fige. Reste gravé à cet instant pour l’éternité.
Instant de pur bonheur et de total abandon dans les bras de cet homme qu’elle avait tant aimé. Qu’elle aimait encore plus, maintenant qu’ils s’étaient ouvert l’un à l’autre. Offert sans plus aucune barrières après de trop nombreuses années de frustration.
Car Charlie était celui qui faisait battre son cœur plus fort à chaque regard, à chaque sourire lui étant adressé.
Elle suffoquait, Mary, à chacun de ses sourire. Elle se sentait fondre à chacune de ses paroles emplissant la pièce de son timbre guttural. Elle se liquéfier sur place à chacun de ses regards.
Bon Dieu qu’elle l’aimait.
Comment avait-elle fait pour nier aussi longtemps une vérité aussi criante, aussi palpable ?
Elle n’en savait trop rien…. Elle ne comprenait pas. Ne comprenait plus.
Là, alors qu’elle observait Charlie frémir sous ses caresses, son propre corps endoloris d’un amour bien trop brutal, elle se sentait enfin complète.
Et lorsqu’il se lève du lit, partant chercher dans son armoire t-shirt et caleçon, elle le laisse faire. Frémissant désagréablement de son absence. Froid mordant sa peau lorsqu’il l’a quitte de sa chaleur.
Silencieuse, elle l’observe au travers de la pénombre de la chambre.
Fins rayons de lumière transparaissant entre les volets clos lui laissant entre-apercevoir la silhouette imposante de cet homme nu. Son corps découpé par l’obscurité.
Ombre chinoise lui tirant un sourire attendri lorsqu’il s’approche d’elle sans un mot. Venant se lover dans ses bras une fois protégé par son bouclier de tissu.
Être immense paraissant soudain si minuscule ainsi enveloppé de sa tendresse. Le visage ainsi niché contre son cou. Son corps se serrant contre le sien à la recherche d’encore un peu plus d’amour. Toujours plus d’amour.
Un amour que Mary ne se fit nullement prier pour lui offrir.
Entourant son corps musclé de ses bras graciles, elle le serra encore un peu plus contre elle. Jusqu’à l’étouffer de sa douceur.
Caressant son dos du bout des des doigts, elle embrassa le haut de son crâne, inspirant l’odeur apaisante de ses cheveux alors qu’elle le laissait recouvrir recouvrir leurs corps enlacés de sa couverture imprégnée de son parfum.
Shampoing et transpiration. Cigarette et déodorant. Beaucoup de Charlie, mais aussi un peu d’elle.
Et elle sourit, Mary. Sourit plus fort alors qu’entre ses bras, elle sent l’homme s’allumer une cigarette, intensifiant encore un peu plus cette odeur sur les draps et son corps nu qu’il se prit à serrer encore un peu plus contre lui avant de couvrir son visage de baisers. La rassurant de sa voix chaude sur ses performances de la soirée.

« -Je suis heureux, May.-Je sais pas comment tu as fais pour ne pas me rendre dingue avant. Je sais même plus comment c'était, avant. »  Il dit, se redressant poser son baton de cancer à peine entamé dans le cendrier abandonné là.
Et elle sourit de plus belle, Mary.
Elle sent son coeur se gonfler d’un bonheur encore inconnu. D’une euphorie lui faisant doucement perdre la tête alors que les mots du châtain résonnaient dans son esprit.
Il était heureux, Charlie.
Au moins pour ce soir. Au moins à cet instant, il était heureux.
Et c’était là la plus belle chose que le garçon pouvait lui dire. La plus belle des déclaration qu’il aurait pu lui faire.
Il était heureux, dans ses bras.
Rien qu’un peu. Rien qu’un temps. Mais il était heureux.
Et Mary était heureuse.
Ils étaient heureux.
Et la brune ne pouvait s’empêcher de sourire bêtement à cette idée.
Ils étaient heureux.
Une vérité à la fois si simple, mais pourtant si complexe.
Une réalité qui aurait pu ne jamais voir le jour, s’ils avaient continué dans leurs dénis. S’ils n’avaient cessé de fuir. D’éviter. De refuser une évidence pourtant flagrante.
Si Soledad n’était pas intervenu pour leur faire ouvrir les yeux à tous les deux sur leurs sentiments mutuels.
Ces putains de sentiments que Mary tentait d’endiguer et de garder casser depuis l’enfance. Que Charlie… que Charlie quoi au juste ?
Elle n’en savait trop rien, Mary. Elle ne savait ni ce que Charlie ressentait pour elle, ni depuis quand.
Mais lorsque les lèvres du garçon happèrent les siennes. Lorsqu’elle sentit ses propres mains agripper sa nuque pour intensifier encore un peu plus la pression de leurs lèvres. Elle se dit qu’elle s’en foutait pas mal, de savoir pourquoi et depuis quand. A quel point et puis comment.
Tout ce qui importait, c’était l’instant présent.
C’était le lèvres de Charlie contre les siennes. La pression de son corps pesant sur le sien. L’écrasant du poids de son amour.
La seul chose qui compte, c’est qu’ils soient heureux.
Heureux, ici et maintenant. Pas hier, pas non plus dans dix ans. Juste là. A cet instant précis.
Ils avaient toute leurs vie pour regretter le passé. Pour penser à plus tard.
Pour l’instant seul comptait le présent.
Un présent que Mary n’aurait jamais pu rêvé mieux que dans les bras du tatoueur.
Qu’en sentant sa langue caresser ses lèvres. Les siennes partir à la découvert de son visage, de son coup, de sa poitrine contre laquelle il déposa sa joue.
Poitrine qui, elle n’en doutait pas, devait vriller ses oreilles des martellement erratiques de son coeur bien trop sincère. Cri à l’amour d’un organe en irradiant tout son être.
Amour liquide coulant dans ses veines.
Tendresse aux bord des lèvres alors que, le gardant tout contre elle, elle embrassait son front avec une infinie douceur en réponse à ses mots. « -Pardon si je t'étouffe. » 
Il l’étouffe, oui. L’étouffe d’un amour qui lui coupait la respiration. Qui aurait pu la désagréger sur place tant il tenait son cœur et ses poumons entre ses griffes acérées.
Mais elle veut bien s’offrir en pâture à cet amour, si c’est le sien.
Elle veut bien être blessée, si c’est par lui.

 «- Expliques moi comment tu fais, May ? » Il demande. Et elle hausse un sourcil en réponse à ces mots, Mary.
Reculant légèrement son visage pour observer celui de l’homme allongé sur elle.
Ses doigts parcourant toujours son échine. Pressant sa nuque avec tendresse avant de venir ses perdre dans ses cheveux courts qu’elle caressa avec douceur. Encourageante. « Comment je fais quoi Charlie ? »
Elle demande, douce, alors qu’elle embrasse sa tempe du bout des lèvres. Un sourire énamouré les étirant lorsqu’elle entendu une fois de plus la voix chaude de l’homme rompre le silence « -Tu m'as trop manqué. »  « Toi aussi tu m’as manqué Chachou... » Elle souffle. Sourire jusqu’aux oreilles alors qu’elle le serre un peu plus fort contre elle. Qu’elle se laisse entièrement écraser par sa présence. Envahir par cette chaleur et cette odeur l’enivrant pleinement. « Je partirais plus, Chachou. Je fuirais plus... » Murmure à peine audible venu d’une femme bien trop sincère. Bien trop amoureuse pour ne pas en souffrir. « Tu me rend folle… Tu me rends folle depuis tellement de temps putain... »
Et elle jure, Mary. Jure une fois de plus sans même prendre la peine de penser à regretter ses mots.
Elle n’a pas le temps pour ça.
Elle n’a le temps pour rien d’autre que pour Charlie.
Il est la seule pensée parvenant jusqu’à son esprit embrumé d’amour. Noyé d’un plaisir tant physique que psychique.
Et elle caresse son dos, son crâne.
Elle embrasse son front, sa tempe.
Chaque parce de son être disponible à sa vue.
Et elle sourit, béat.
Elle sourit. Plus heureuse que jamais de sentir cet homme se laisser aller de la sorte contre son corps nue et transpirant.
Et alors qu’elle glisse ses doigts le long de son échine et de sa nuque, elle murmure comme une ultime vérité avant de ravir ses lèvres avec tendresse « T’es le seul… Tu l’as toujours été... »
Alors elle ferme les yeux, Mary. Elle ferme les yeux et serre plus fort encore Charlie dans ses bras.
Caressant ses bras, son dos, son crâne. Parcelle de peaux tantôt nues, tantôt couverte de tissus.
Et elle ne dit rien de plus, Mary.
Elle se contente de le garder tout contre elle. De profiter de sa chaleur et de l’irradier de la sienne.
Échange de tendresse qui lui font monter les larmes aux yeux.
Larmes de joie. D’un amour trop longtemps contenu pouvant enfin s’exprimer. S’écouler le long de ses joues déformé par son sourire le plus sincère alors qu’elle se penche une dernière fois embrasser son crâne assailli par ses caresses.

Putain ce qu’elle l’aime.

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